Nouveau avez-vous lu?
Mais comment? Pas de prise en compte de points supplémentaires pour les années de séparation?
Pas de points exponentiels pour le renouvellement du même voeu?
Et j'en oublie certainement... nos demandes durant toute l'année écoulée restent "sans suite"... Le ministère ne nous entend-il pas?
Pourtant nous avions cru lire dans le dernier rapport de Monique Sassier, médiatrice de l'Education Nationale, qu'elle reconnaissait que " la séparation de 3 ans et plus avait des conséquences néfastes"...
Pourtant ce même ministère avait répondu à nos politiques, via nos syndicats, qu'il prenait en compte cette "souffrance"...
Paroles, paroles, paroles....
Mauvais présage pour la suite?
Dans tous les cas, nous sommes toujours dans la même situation, nous attendons maintenant le feu vert pour renvoyer nos dossiers complets, à notre hiérarchie, sans nous autoriser à espérer trop fort...
Ces années qui se suivent et se ressemblent dans la souffrance et l'indifférence générale, c'est chaque année plus difficile... et puis à un moment c'est "l'année de trop" celle qui va provoquer l'accident, la maladie, le divorce...
Mais ce n'est pas si grave, ça ne concerne que quelques uns, ici et là, toujours en train de se plaindre...
pas de changement effectivement... rien, rien, rien...
RépondreSupprimerLes années de séparation sont toujours bloquées au nombre de 3, pas de points supplémentaires pour renouvellement de voeux et surtout la Creuse ne sera pas la porte d'entrée de l'académie... C'est bien ce dernier élément qui pouvait nous permettre de bouger mais là, je crois qu'on connait déjà le résultat du mois de mars... et on continuera encore à faire la route, à partir tôt, à rentrer tard, et à arriver en classe après 2h de route en étant déjà fatigués avant d'avoir commencé la classe.
Jeudi, on va faire encore une fois notre demande, toujours la même, sans espoir...
Comme je le craignais, Monsieur le Recteur, n'a fait que de vaines promesses, juste un peu de poudre aux yeux pour calmer les esprits. Je suis triste pour vous, tant je vois ce que l'on peut gagner en qualité de vie à réduire ces heures perdues sur les routes.
RépondreSupprimerNe perdez pas espoir, battez vous quitte à revenir planter la tente devant le Rectorat ( il n'aime pas ça le Monsieur mais c'est la seule chose qui le fait bouger). Sachez que vos anciens compagnons de galère seront toujours là pour venir vous soutenir.
Je vous souhaite à tous bon courage pour cette nouvelle bataille.
Une ancienne.